Rolande Faucher

Nos plus sincères condoléances à toute le famille agrandie.
Nos pensées sont avec vous dans ces moments difficiles
Andrée et Pierre Bédard

Chère Rolande,
C’est avec une profonde tristesse que j’ai appris ton départ terrestre. Je garde de toi des souvenirs lumineux, empreints de générosité et d’engagement. Ta contribution remarquable à la francophonie ontarienne laisse une empreinte durable. Nous sommes nombreuses et nombreux à te dire merci, du fond du cœur.
Mes pensées et mes prières accompagnent ta famille, tes proches, et toute la communauté qui t’a aimée et soutenue.
Repose en paix, belle Rolande

Mes plus sincères condoléances a la famille .

R olande Faucher fut fortement engagée,
O ntarienne de corps, francophile d’esprit.
L es liens qu’elle a tissés partout n’ont pas de prix :
À l’Ontario français, elle était obligée.

N ombreuses les actions qu’elle a encouragées
D ans sa communauté, à Orléans compris !
E t tous les citoyens qu’elle aura entrepris
F urent sur ces sujets menés à l’apogée.

A ujourd’hui sa fratrie assemblée à Beechwood
V ient se joindre aux amis pour un dernier baroud,
C e salut temporel à son âme éternelle.

H ommage rendons-nous à Rolande Faucher
E n ce jour qui nous voit tous bien endimanchés,
R appelant à foison qu’elle fut un modèle.

Sincères condoléances Luc, Anne-Chantal, Alain et familles. Je garde de bons souvenirs de votre maman comme voisine à Orléans

Mes sincères condoléances à Luc, Anne-Chantal, Alain ainsi qu'à toute la famille.

Sincères condoléances à Luc, Anne-Chantal et Alain. Je garde un très bon souvenir de Rolande et je partage votre chagrin pour cette grande perte.

Les membres de la Société franco-ontarienne du patrimoine et de l’histoire d’Orléans (SFOPHO) tiennent à exprimer leurs sincères condoléances à la famille et aux proches de Rolande.

La SFOPHO, a eu le privilège de travailler avec Rolande et d’apprécier ses multiples talents. Sa passion pour défendre les intérêts des francophones et mettre en valeur la communauté francophone était remarquable et un bel exemple à suivre.

C’est avec toute notre reconnaissance et notre admiration que nous la remercions.

Membres de la SFOPHO

Quelle surprise! Quelle très désagréable nouvelle! Je m’en remets à peine. C’est un départ marquant. J’offre mes plus profondes condoléances à ses enfants, ses petits-enfants, ses arrières-petits-enfants, la famille Soucie qui a eu la chance d’avoir une belle-sœur dépareillée (comme on disait dans l’temps), ses compagnes du Ciné-club d’Ottawa, les anciens et les anciennes ainsi que les nouveaux et les nouvelles du MIFO et de la SFOPHO (suis toujours membre des deux organismes) ainsi que tous les gens qui ont connu Rolande comme collègue, participante, collaboratrice, intervieweuse, amie, partenaire de jeux et autres contextes sociaux.
Rolande aimait le monde, et les gens l’aimaient. À l’instar de feu Denis Gagnon, je n’ai jamais entendu quelqu’un parler en mal de Rolande. J’ai rencontré des gens d’exception dans ma vie, et Rolande en est une.
La dernière fois que j’ai vu Rolande, c’était à la récente cérémonie officielle de la première pelletée de terre reliée à la reconstruction du nouveau MIFO. Rolande a mis son coeur, son âme, sa tête, sa santé (tout son être, quoi) à la planification, l’élaboration, la conception et la concrétisation du premier MIFO qui, dans quelques années, « renaîtra de ses cendres » pour donner encore plus de place à son grand rêve de voir la francophonie grande, solide et épanouie en terre de l’Ontario, partout en province, et particulièrement dans l’Est de l’Ontario et à Orléans.

J’ai connu Rolande aux balbutiements du MIFO, avant le Centre culturel sur la rue Carrière et même avant la belle petite vieille maison à l’escalier craquant sur le boulevard Saint-Joseph. Nous étions toutes deux membres du Conseil d’administration du MIFO avec les Jean-Guy Doyon, Pierrette Thibodeau, Étienne Sepulchre, mon frère Jean-Louis, Gérald Lacombe, Nicole Fortier, Louis et Nicole Patry, et tant d’autres qui ont suivi. Nous partagions une passion commune (le français en Ontario) et nous nourrissions un rêve commun (un centre culturel où francophones et francophiles vivraient le plus complètement possible dans la langue de Molière et s’épanouiraient sur une terre ontarienne adoptée par leurs arrières-grands-parents venus principalement du Québec).

Rolande, repose en paix. Tu le mérites tellement après tout ce que tu as fait pour tous et toutes les FO [franco-ontarien(ne)s] dans nos vies. Je te vois maintenant au paradis tenir avec feu Gerald Lacombe la pelle à deux manches du MIFO à laquelle vous serez tous les deux associés à jamais, ici sur terre, comme dans la vie éternelle au paradis.

Je continuerai d’aller voir des films en pensant à toi qui les a tant aimés. Belle vie au paradis.

Chère Rolande, tu as ajouté de ta sagesse sur l’histoire de la francophonie ontarienne en créant le chapitre sur l’éducation en notre nouveau livre sur l’histoire d’Orléans, Ontario. Nous, tes collègues auteures et auteur, suivant quatre ans de travail en collectif, te disent adieu. Et, malgré ton départ, nous restons unis avec toi, qui as si joyeusement relu le fruit de notre travail une dernière fois avant de nous quitter.
Suzanne Benoit, Danielle Carrière-Paris, Colette Côté, Guy Legault, Rachel Major