l'honorable Orville Frenette

Mes sincères condoléances à toute la famille de Orville Frenette.

J’ai eu le plaisir pendant ma carrière d’avocat de plaider à de nombreuses reprises devant le Juge Frenette. Cet éminent juriste a toujours fait preuve d’écoute et de respect à l’égard des avocats et d’empathie à l’égard des parties. Il fut un homme juste et droit.

J’ai eu le plaisir et l’honneur de devenir l’un de ses collègues de travail à la Cour pendant quelques années avant sa retraite. Il a été un collègue généreux et toujours attentif aux besoins de la Cour.

Que de belles conversations nous avons eues au fil des années.

Repose en paix Orville.

C’est avec tristesse que j’apprends le décès du collègue Orville Frenette. Ma conjointe Louise Turpin et moi offrons nos
condoléances aux membres de sa famille.
J’ai eu le plaisir de le côtoyer pendant de nombreuses années à la Cour Supérieure.
Son érudition, sa rigueur intellectuelle, son sens du devoir et son amabilité étaient ses marques de commerce.
Que son âme repose en paix.
J.P.Plouffe.

C’est avec tristesse que nous avons appris le décès d’oncle Orville. Bien que nous soyons éloignés par la distance, il a toujours été présent dans nos vies. Sa sœur Vivian, ma mère était sa plus fervente admiratrice. Elle nous tenait au courant de tous ses faits et gestes. Elle était fière de sa réussite. Lorsqu’on le rencontrait, on la comprenait bien. Il était un homme intègre, affable et intéressant. Tous les sujets le passionnaient. Nos souvenirs de lui sont tous agréables.

Nous aimerions offrir à toute sa famille nos sincères sympathies. Perdre un père peu importe son âge est toujours un triste évènement. Nous pensées sont avec vous.

Lise et Gilles Landry

Mon épouse Françoise se joint à moi pour offrir nos sincères condoléances à la famille du juge Orville Frenette, éprouvée par le décès de cet homme d’une grande dignité et d’une immense courtoisie à l’égard de tous.
Je ne garde que de bons souvenirs des procès que j’ai plaidés devant le juge Frenette et, devenu juge, je le voyais comme un modèle pour ce qui est de l’attitude que doit avoir le magistrat à l’égard des avocats et des justiciables qui se présentent devant lui.
Ayant atteint l’âge de la retraite obligatoire en vertu de la loi, soit soixante-quinze ans, il était outré de ne pas pouvoir continuer à rendre justice à la Cour supérieure alors qu’il était en pleine possession de ses moyens et plein d’énergie. Qu’à cela ne tienne, il a accepté l’invitation du juge en chef de la Cour fédérale d’être juge suppléant dans cette cour et a ainsi pu continuer d’y entendre des causes pendant plusieurs années. Il n’aura donc jamais cessé de vouloir servir la Justice avec un dévouement exemplaire qui force l’admiration.
Après cette longue vie consacrée au travail de juge, il a certainement mérité de reposer en paix auprès de sa conjointe bien aimée Jeannine. Ils formaient un très beau couple et ils sont maintenant réunis pour l’éternité.